Contes et Mer Veillent : Annie Kiss

Les pommes d’or du lac Erne et autres contes celtiques

Annie Kiss
Annie Kiss

Conn Eda, jeune prince irlandais, se voit contraint par sa belle-mère (qui veut se débarrasser de lui) à se procurer des objets et créatures magiques, quasi inaccessibles. Il va donc entreprendre une quête pleine d’épreuves et de dangers qui va le conduire au fond du Lac Erne, jusque chez le Roi des fées.

Annie Kiss a perfectionné son art de conter auprès de grands conteurs, tels Nacer Khémir, Catherine Zarcate, Michel Hindenoch, Henri Gougaud, Pépito Matéo et collabore depuis plusieurs années avec le Centre de Littérature francophones.

Elle a participé à de nombreuses manifestations, salons du livre, fêtes médiévales, et festivals du conte :

  • – La  » Criée aux contes  » à Vannes, dans les années 80
  • – Les  » Arts du récit « , dont elle a été la première intervenante et auquel elle a participé pendant des années, à Grenoble
  • – La  » Semaine qui conte  » à Dunkerque
  • – Le festival de Bordeaux Saint Michel
  • – Les  » Mots à la bouche  » à Chevilly-Larue, qui a fait souvent appel à elle
  • – Paroles francophones, en Côte d’Ivoire
  • – Festival du conte au Burkina Faso…

pour ne citer que les plus importants. Elle a été choisie comme marraine par Mondoral. Conteuse à voix nue, (sauf pour les 18 mois – 3 ans, avec lesquels elle utilise des accessoires et instruments de musique et de bruitage), elle puise au gré des circonstances, de son humeur et de son public, parmi les 350 contes de son répertoire, de quoi enchanter petits et grands de 18 mois à 105 ans. » Porteur de sagesse ancestrale, le conte enseigne en divertissant. Il nous construit et nous nourrit. Il nous aide à mieux nous connaître en ouvrant la porte de notre imaginaire et de notre subconscient. Mais il nous fait aussi découvrir les autres dans toute leur différence. C’est une fenêtre ouverte sur le monde. C’est une source de partage et de communication. Le conte témoigne; c’est un éveilleur de conscience. Le conte réconforte. C’est une compensation pour les exclus de la culture. C’est un acte d’amour, un facteur d’humanité. Il donne un sens à notre vie. Mais, avant tout, c’est une œuvre d’art et un plaisir partagé .

Soyez le premier à commenter

Poster un Commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée.


*


Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.